Tropical Tribulations, Episode 3: Time on Fieldwork Flies – but Brazil Flies Higher. [français]
Les dernières semaines n’ont, au niveau planétaire, pas exactement été joyeuses. Entre Gaza, la Syrie, l’Irak, le Soudan du Sud, et l’Ebola, on s’en retrouve à ne pas vouloir allumer les nouvelles. Mais, caché derrière les flash-infos sur avions perdus et terres débattues, il y aussi du bon! Des développements, souvent invisibles de par leur lenteur, mais qui redonnent un peu d’espoir dans un monde dont on entend si souvent qu’il se désintègre. Pour les déprimé(e)s des nouvelles, et autres curieux, donc: un regard vers le Brésil.
Le Brésil – qu’est-il donc? Le pays du football, de la joie, de la fête? De la samba, du manioc, et de l’Amazone? Ou des favelas, de la corruption, et de l’inégalité? Les journaux pendant la Coupe du Monde avaient du mal à se décider, célébrant un moment les stéréotypes festifs de ce pays “accueillant”, “vivant”, et “dynamique”, avant de rappeler au lecteur que “tout n’est pas rose au Brésil” (ah bon?) et qu’il y a “une face cachée”, et même de la violence, de la misère, voyons-même, de l’injustice!
Le Brésil est, sans doute, un peu de tout ça, et bien plus. Mais au-delà des apparences, soient-elles négatives ou positives, ma recherche ici m’a porté à assister à l’émergence d’un nouveau Brésil, dont le changement, aidé par le haut, s’opère par le bas. Vamos lá!